STAR WARS: ANDOR | EPISODE 7 REVIEW

 

STAR WARS: ANDOR | EPISODE 7 :

L'Empire ressemble enfin à l'Empire dans le dernier épisode de la série originale de Lucasfilm et Disney+, "Star Wars : Andor". Après le braquage d'Aldhani, Cassian Andor est revenu pour sauver sa mère, mais elle refuse de quitter sa maison. Elle va tenir tête à l'Empire à sa manière en s'inspirant de la Rébellion. Pendant ce temps, Cassian veut juste être en fuite alors qu'il voit comment l'Empire fait monter les enchères à la suite du braquage d'Aldhani. De plus, nous obtenons de superbes regards sur les personnes qui dirigent vraiment la rébellion, et nous sommes sur le point de voir à quel point ils forment vraiment une alliance.

Alors que les six premiers épisodes de cette série ressemblaient à deux arcs d'histoire de trois épisodes clairement définis, l'épisode sept ressemble à une véritable continuation de l'épisode six. Il est incroyablement possible que cela mette en place un autre arc d'histoire en trois épisodes, mais il s'appuie sur tout. Il y a une excellente narration dans cette série. C'est plus au niveau de la rue. Un seul combattant de cravate semble effrayant. Nous savions que nous allions enfin voir un star destroyer, et dans cet épisode, un seul star destroyer semble être la chose la plus effrayante de tous les temps. Et le dialogue est le moteur de cette série. Il y a très peu d'explosions, mais les dialogues et l'évolution des personnages sont tout simplement incroyables.

Le personnage le plus intrigant de cet épisode n'est pas Cassian Andor, ni sa mère, c'est Mon Mothma. Elle est un élément essentiel de la rébellion, comme nous l'avons vu dans de nombreux canons de "Star Wars" et dans l'univers élargi. Elle fait partie des rares personnes qui semblent comprendre ce qui se passe. Elle sait que l'Empire est sur le point de resserrer son emprise, et elle sait que la Rébellion doit être bien formée pour survivre. Bien que ce ne soit pas sa série, c'est son épisode. Et, si Disney est déterminé à donner à chaque personnage qu'il possède sa propre série, elle le mériterait.