The Blacklist Saison 7 Episode 11 VOSTFR

Red appelle simplement Lizzie et lui dit qu'il y a un contrefacteur magistral qui se promène là-bas, et étant donné que l'art falsifié et volé représente 10% d'un marché évalué à plus de 50 milliards de dollars, cette piste, certes égoïste, (le contrefacteur du cercueil, une fois trouvé, peut sûrement le conduire à la vraie affaire, après tout) pourrait être "la pointe d'un énorme iceberg" pour le FBI.

Et en effet, il l'est. Red informe le bureau de poste qu'il a à l'origine sorti son cercueil de la galerie olympienne, et il pense que si cette personne était capable de forger une pièce dans cette galerie, il pourrait y avoir d'autres contrefaçons à l'intérieur. Il a même une piste sur un autoportrait qu'il soupçonne également d'être un faux, et lorsque le bureau de poste donne un coup de pied à la galerie, ils le confirment. Mais ils savent aussi que ce n'était pas un faux quand il est entré dans la galerie, ce qui ne peut que signifier que l'original a été en quelque sorte désactivé avec la contrefaçon.

Reddington retrouve rapidement le propriétaire de l'original volé, lui achète un martini et une tour de fruits de mer, obtient le nom de l'évaluateur qui a vendu le portrait volé et se présente à sa maison pendant que l'homme prend un bain moussant. Et maintenant, comme preuve définitive que Reddington vit comme un hooligan pendant cette période d'insouciance post-Katarina, je vous offre cet échange:

L'évaluateur dit à Red depuis le bain qu'il serait suicidaire d'abandonner le faussaire qui lui fournit de véritables pièces à vendre sur le marché noir. Et au moment où Red pourrait normalement signaler à Dembe de brandir une arme à feu pour signifier qu'un suicide peut, en effet, être arrangé - il fait plutôt signe à Dembe, qui tient… un gaufrier… à côté d'un homme dans une baignoire… puis procède à inviter ledit homme en bas à prendre un petit-déjeuner en tant que dîner dans sa propre maison pendant qu'ils discutent des prochaines étapes.

Le groupe de travail, pour sa part, va chercher cet faussaire à l'ancienne, sans la menace de la mort par le gaufrier. Ils découvrent que la seule fois où la galerie olympienne n'a pas été sous surveillance constante, c'est quand une explosion d'essence a brièvement retiré leur système de sécurité. Certains observateurs aux yeux d'aigle de leurs séquences de sécurité dans les instants avant et après l'explosion montrent que c'est en fait une voiture truquée qui a provoqué l'explosion ce jour-là, et cette voiture appartient à…

Richard Vitaris, alias le principal demandeur dans un recours collectif contre la société pharmaceutique appartenant aux Fenberg. Et la famille Fenberg se trouve être les propriétaires privés de chaque œuvre d'art qui s'est avérée jusqu'à présent contrefaite. Le procès de M. Vitaris indique que la société des Fenberg trompe sciemment le public et la FDA sur la dépendance de leurs médicaments, ce qui a finalement conduit son fils à devenir accro à ses analgésiques, qui lui ont été prescrits après une simple blessure de football, et finalement surdosé.

Le fait est que nous avons vu Richard Vitaris dans des scènes entrecoupées, et nous savons qu'il n'est que le déclencheur de cette opération. Alors qu'il crée des distractions et des détournements, une femme entre et remplace l'art original par des contrefaçons impeccables de sa propre fabrication. Cette femme connaît aussi bien les codes clés pour accéder à l'oeuf Fabergé d'une collection privée dans un bureau où tout le monde semble la connaître…

Et lorsque le FBI se rend au domaine de Fenberg pour avertir M. et Mme Fenberg que quelqu'un cible l'art de leur famille, cette même femme se révèle être Victoria Fenberg, leur seule fille et directrice de la collection d'art de Fenberg.

Il semble que Victoria soit secrètement d'accord avec M. Vitaris sur la complicité de sa famille dans la mort de son fils, et a utilisé le pouvoir qu'elle a dans sa position au sein de la famille pour financer secrètement le procès contre eux. Elle assure au FBI que toutes les œuvres d'art de sa famille ont été authentifiées tout en sachant très bien qu'elle se tient devant le même tableau qu'elle a l'intention d'être le dernier switcheroo qui obtiendra finalement à M. Vitaris assez d'argent pour poursuivre ce procès avec le même quantité de puissance que son adversaire: sa propre famille.

Malheureusement pour Victoria, maintenant que le FBI est sur l'attaque de Vitaris contre la collection de la famille Fenberg, leur succession - où se trouve actuellement le dernier tableau - est en lock-out complet. Mais M. Vitaris n'a pas peur d'être attrapé, comme il le dit à Victoria lorsqu'elle l'appelle pour lui dire qu'ils doivent abandonner leur dernier casse: "Comment pensez-vous que cela se termine autrement? Je rentre chez mon fils? La seule façon pour s'assurer que les autres ne meurent pas comme lui, c'est voir à travers. Et pour ce faire - vous allez devoir faire l'échange. " Victoria est d'accord et M. Vitaris la remercie pour tout ce qu'elle a fait. Puis il se présente au domaine de Fenberg déguisé en l'un des déménageurs d'art, et au moment où le FBI dit à la famille qu'ils ont des raisons de croire que Vitaris prévoit un dernier casse…

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